Rejoignez-nous et retrouvez le conférencier Paul Harber, de la chaîne d’approvisionnement des produits parentéraux, qui vous parlera des « considérations à prendre en compte lors de la collecte de données sur la température ambiante ».
Résumé : La collecte de données sur les couloirs thermiques représente un investissement important. Le fait de se focaliser sur la « finalité » permettra d’identifier les avantages ainsi que les coûts.
Vous allez apprendre :
- Coûts et avantages des différents choix de sources de données : données ambiantes réelles, données de stations météorologiques ou idéalisation des couloirs, par exemple ISTA 7D.
- La surveillance continue des couloirs en tant qu’amélioration continue du processus
- Les expériences précédentes (les bonnes et les mauvaises !)
- Quand peut-on dire que ça suffit ?
Paul Harber travaille dans le domaine de la validation des transports depuis plus de 25 ans. Son champ d’action s’étend à la validation des conteneurs d’expédition actifs et passifs pour de nombreux clients. En 2014, son travail avec des ONG sur un projet d’évaluation des opérations sous chaîne du froid sur les sites d’essais cliniques du vaccin contre le virus Ebola dans les pays de la zone 4 a été un apport personnel enrichissant à son travail.
Pendant 16 ans, le travail de Paul chez Eli Lilly and Company (Lilly) a porté sur la qualification de conteneurs d’expédition actifs et passifs pour le transport clinique et commercial de produits thermolabiles. Il a joué un rôle majeur dans la définition et la spécification des éléments et des pratiques de la chaîne du froid nécessaires au succès de la commercialisation de quatre produits Lilly.
Chez Lilly, Paul était l’interface avec toutes les agences de réglementation sur les questions de qualification des emballages de transport. Paul a fourni un soutien en matière de transfert de technologie afin de mettre en œuvre de nombreux changements et améliorations dans la chaîne d’approvisionnement, à l’appui de la stratégie de fourniture d’API.
Paul est titulaire d’un baccalauréat en génie agricole et d’une maîtrise en génie de l’Université Purdue.